370 articles avec femme en islam - المرأة في الإسلام

Porter un chapeau au dessus du jilbab (audio)

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

Porter un chapeau au dessus du jilbab (audio)

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Question :

 

Quel est le jugement du fait de porter ce genre de couvre-chef/chapeau sur le vêtement légiféré ou sur le niqâb, à cause de la chaleur intense quand nous sortons ?

(Photo ci contre, montrée à Cheikh avec la question)

 

Réponse :

 

Il n'y pas de mal à porter un chapeau sur le vêtement légiféré pour se protéger du soleil quand on sort.

 

Cependant, il ne faut pas qu'il (le chapeau) soit enjolivé et attirant les regards.

 

Traduit par par Bintu Zahir

Publié sur le groupe Q/R entre soeurs

السؤال :  السلام عليكم ورحمة الله وبركاته
ما حكم لبس مثل هذه القبعة فوق اللباس الشرعي والنقاب حال الخروج لشدة الحرارة  ؟

الجواب : صوتي

المصدر: قناة اللآلئ الحسان لحفظ فتاوي الشيخ طلعت زهران

Cheikh Tal'at Zahran - الشيخ طلعت زهران

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Celui qui dénigre la femme noire

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

Celui qui dénigre la femme noire

Question :

 

Ahsana Llâh ilayk

 

Il y a certains musulmans et salafis de France qui font preuve de racisme envers les soeurs noires en les dénigrant par rapport à leur couleur de peau, leurs origines, leur physique, leur types de cheveux ...

 

Ils vont même jusqu’à dire qu’elles ont tel et tel comportement parce qu’elles sont noires ...

 

Comment se comporter avec ces personnes ?

 

Et quel est le jugement de cela ?

 

Jazâka Llâhu khayran wa bâraka Llâhu fîka yâ Shaykh

 

Réponse :

 

Il n'est pas correct de dénigrer les hommes ou les femmes qui ont une peau noire, ou autre que noire d'ailleurs.

 

Ceci fait partie des comportements de la période préislamique.

 

C'est du fanatisme préislamique.

 

Quand Abû Dharr Al-Ghifârî رضي الله عنه a dit au compagnon Bilal : "Fils de la négresse", le Prophète صلى الله عليه وسلم l'a réprimandé et lui a interdit [cette parole] en disant :

 

"Tu es un homme chez qui il y a un comportement préislamique (جاهلية)"

 

Il ne faut donc pas qu'une personne tombe dans le fanatisme en s'emportant dans l'expression de sa passion pour une peau, une couleur, une race, une tribu...

 

Par contre, cette personne doit s'accrocher à l'Islâm ; car les croyants sont tous des frères.

 

Ils sont alors comparés à un seul corps, lorsqu'un membre souffre, il transmet sa fièvre et son insomnie à tout le corps.

 

Qui a créé cette femme noire ?

 

Allâh !

 

Dénigrez-vous alors Le Créateur ou la créature ?

 

Que ces frères craignent Allâh, qu'ils prennent garde de ce comportement.

 

Craignez Allâh جَلَّ و عَلا qui dit سبحانه وتعالى dans Son noble livre, afin de montrer comment les gens ont été créé sous forme de nations pour qu'ils s'entre-connaissent, et ceci dans le verset de sûrat Al-Hujûrat (Traduction rapprochée) :

 

{ Ô hommes ! Nous vous avons créés d'un mâle et d'une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre-connaissiez. Le plus noble d'entre vous, auprès d'Allâh, est le plus pieux. (...) }

 

Le plus noble d'entre vous, auprès d'Allâh, est le plus pieux.

 

Bilal fut un esclave abyssinien et Abû Bakr fut l'un des notables de Quraych - qu'Allâh les agréé tous - mais avec l'avènement de l'Islâm, ils devinrent frères.

 

À tel point qu'ils étaient comme un seul corps.

 

Qu'Allâh les agréé tous.

 

Traduit par Bint Zahir حفظها الله

 Publié par 3ilmchar3i.net

Cheikh 'Ali ben Abdelaziz Moussa - الشيخ علي بن عبدالعزيز موسى

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La femme qui exerce une activité professionnelle et qui acquiert la science bénéfique

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

La femme qui exerce une activité professionnelle et qui acquiert la science bénéfique

L'islam n'empêche pas à la femme d'exercer une activité professionnelle permise et d'acquérir la science bénéfique.

 

Cependant, cela doit être régi par des règles qui l'empêchent de négliger son activité principale et de manquer à sa responsabilité familiale relative aux droits de son époux et de ses enfants.

 

Ces règles doivent également l'empêcher d'être une source de tentation [fitnah] pour elle-même et pour autrui.

 

Ceci, afin de préserver la famille et la société des vices et de la décadence bestiale et les tenir loin de cela.

 

Sur le compte Telegram de Cheikh - @alramly

Traduit par Abdullah al Albani

Publié sur la chaîne Telegram - @AbdullahalAlbani

الإسلام لا يمنع المرأة من العمل المباح والعلم النافع، ولكنه يضبط ذلك بضوابط تمنعها من تضييع عملها الرئيسي والتقصير في مسؤوليتها الأسرية من حقوق زوجها وأبنائها عليها، وتمنعها من أن تكون فتنة على نفسها وغيرها. حفاظاً على الأسرة، وعلى مجتمع بعيد عن الرذيلة والانحلال البهيمي

Cheikh Abou Al-Hassan 'Ali Al-Ramly - الشيخ أبو الحسن علي الرملي

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La durée des règles

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

La durée des règles

Question :

 

Mes menstrues durent entre neuf et dix jours.

 

A la suite des travaux ménagers, bien que je m'en sois purifiée, le sang recoule à intervalles irréguliers.

 

Je me trouve alors dans l'embarras.

 

Informez-moi de la durée reconnue de la menstruation.

 

Si elle survient de nouveau après l'écoulement de la durée qui lui est établie par la Charia, pourrai-je jeûner, prier, aller au Haram (Maison Sacrée) pour accomplir le petit pèlerinage [La `Omra] ?

 

Puis-je avoir recours aux pilules pour ajourner les règles durant le mois de Ramadan ?

 

Cela est-il interdit ou permis ?

 

Réponse :

 

Louange à Allah et prière et salut sur le Prophète, sa famille et ses compagnons.

Après ce préambule :

 

Premièrement : La durée de vos menstrues est définie par la période que dure habituellement votre écoulement, et elle est comprise entre neuf et dix jours.

 

Une fois que vous constatez l'interruption de l'écoulement du sang suite aux neuf ou aux dix jours, prenez le bain rituel, faites la prière, le jeûne et les circumambulations autour de la Ka`ba, que ce soit pour le petit ou le grand pèlerinage ou même à titre surérogatoire ; de même, il est autorisé à votre mari d'avoir des rapports conjugaux avec vous.

 

Si vous constatez à nouveau un écoulement de sang malgré l'écoulement de la période reconnue, dû à un effort ou à une autre activité, il ne s'agit pas de menstruation dans ce cas, mais d'un sang impur, qui n'interdit pas les actes rituels : prière, jeûne, circumambulation ou autre.

 

Lavez-vous de ce sang, comme vous le faites pour toute autre substance impure, puis accomplissez les ablutions pour chaque prière, priez, faites les circumambulations autour de la Ka`ba et récitez le Coran.

 

Deuxièmement : Il vous est autorisé de prendre des pilules pour ne pas avoir de menstrues durant le mois de Ramadan, tant que ceci n'affecte pas votre santé en général ou votre fertilité ou ne provoque un désordre dans votre menstruation, sachant que ces médicaments peuvent causer un saignement continuel.

 

Le cas échéant, il est interdit de les consommer.

 

Pour s'assurer de cela, il vaut mieux consulter les experts parmi les médecins fiables.

 

Qu'Allah vous accorde la réussite et prière et salut sur notre Prophète Mohammad, ainsi que sur sa famille et ses compagnons.

 

La Fatwa numéro 2176

Publié par alifta.gov.sa

مدة الحيض

س: إنني عندما تجيني العادة الشهرية تكون مرة تسعة أيام ومرة عشرة أيام، وعندما أطهر منها وأقوم بعمل المنزل تعاودني مرة أخرى على فترات متقطعة، وإني حيرانة منها، فأرشدوني كم مدة العادة الشهرية، وهل إذا عاودتني العادة بعد المدة المقررة لها شرعًا يجوز لي صوم وصلاة وطلوع إلى الحرم للعمرة؟ وهل يجوز استعمال الحبوب لإيقاف العادة في شهر رمضان، فهل هذا حرام أو جائز؟

جـ: الحمد لله وحده، والصلاة والسلام على رسوله وآله وصحبه.. وبعد : أولاً: مدة الحيض بالنسبة لك هي المدة التي جرت عادتك أن يأتيك فيها الحيض، وهي عشرة أيام أو تسعة، فإذا انقطع الدم بعد تسعة أو عشرة فاغتسلي وصلي وصومي وطوفي بالكعبة في حج أو عمرة أو تطوعًا، ويحل لزوجك الاتصال بك، وما عاودك من الدم بعد مدة العادة من أجل مزاولة عمل أو طارئ آخر - فليس بدم حيض، بل دم علة وفساد، فلا يمنعك من الصلاة ولا الصوم ولا الطواف ونحوها من القربات، بل اغسليه عنك كسائرالنجاسات، ثم توضئي لكل صلاة، وصلي وطوفي بالكعبة واقرئي القرآن. ثانيًا: يجوز لك استعمال الحبوب لمنع العادة في شهر رمضان إذا كان استعمالها لا يضر بصحتك العامة، ولا يحدث عقمًا ولا يحدث اضطرابًا في العادة الشهرية، فإن الحبوب قد تنتهي إلى نزيف مستمر وإلا حرم، ويعرف ذلك بسؤال أهل الخبرة من الأطباء المهرة المأمونين. وبالله التوفيق، وصلى الله على نبينا محمد وآله وصحبه وسلم

الفتوى رقم ( 2176 )

Comité permanent [des savants] de l'Ifta - اللجنة الدائمة للبحوث العلمية والإفتاء

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Avec l’apparition de la lumière de notre religion et sa législation, la femme a été libérée de l’humiliation pour être honorée !

Publié le par 3ilm.char3i

Avec l’apparition de la lumière de notre religion et sa législation, la femme a été libérée de l’humiliation pour être honorée !

Avec l’apparition de la lumière de notre religion et sa législation, la femme a été libérée de l’humiliation pour être honorée !

 

‘Umar رضي الله عنه a dit dans un hadith rapporté par al Bukhari et Muslim :

 

«Par Allâh, avant l’islam nous n’accordions aucune valeur à la femme, jusqu’à qu’Allâh révèle ce qu’Il a révélé et leur accorde ce qu’Il leur a accordé (comme droits).»

 

Si la femme connaissait la valeur de ce qui a été révélé à son égard, comme préservation, chasteté, honneur et dignité, elle n’aurait aucun manquement aux ordres de son Seigneur.

 

Sur le compte Twitter de Cheikha - @h_s_alsabah

 Publié par la Chaîne منهاج السالكات - MinhaajAsSaalikaat

ببزوغ نور ديننا وشرائعه انتشلت المرأة من الهوان إلى العز

قال عمر فيما أخرجه البخاري ومسلم

"والله إن كنا في الجاهلية ما نَعُدّ للنساء أمرًا، حتى أنزل الله فيهنَّ ما أنزل، وقسَم لهن ما قسَم"

لو علمت المرأة قدر ما أُنزل في حقها من صيانةٍ وعفة، ورفعةٍ وعزة لما تقاعست عن أحكام ربها

Cheikha Hayya As-Sabah - الشيخة هيا الصباح

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Chapitre de l’hémorragie

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

Chapitre de l’hémorragie

Le sang de l’hémorragie (دَمُ الاِسْتِحَاضَةِ) est un sang qui sort en dehors de la période des menstrues et des lochies ou qui suit, qui est collé à cette période.

 

Le sang de l’hémorragie, sort en dehors de la période des menstrues donc il est facilement détectable, une femme peut facilement le reconnaître car il est en dehors de ses périodes.

 

Le sang de l’hémorragie peut sortir juste après sa période, sans interruption, elle a du sang qui sort perpétuellement d’elle.

 

Dans ce cas il y a trois situations :

 

Première situation : lorsque la femme est réglé

 

C'est-à-dire qu’elle connaît ses période de menstrues et de lochies.

 

Le sang qui sort en dehors de cette période, elle sait que c’est un sang d’hémorragie.

 

La preuve est la parole du Prophète (صلى الله عليه و سلم) lorsqu’il a dit à oum habiba :

 

« abstiens-toi le temps que t’abstenais tes menstrues puis lave-toi et prie ».

 

Le Prophète (صلى الله عليه و سلم) a dit à oum habiba qui avait le sang de l’hémorragie de s’abstenir de prier, de jeûner et d’avoir des rapports avec son mari pendant la période de ses menstrues et lorsqu’elle sait que sa période de menstrues est finie mais que le sang continue à couler, le Prophète (صلى الله عليه و سلم) lui dit :

 

« lorsque tu es convaincus que ta période est terminé. Le sang qui sort de toi, considère-le comme un sang d’hémorragie puis lave-toi et prie ».

 

Deuxième situation : lorsque la femme ne connaît pas sa période de menstrues

 

La femme à la possibilité de différencier les deux sangs. Le sang des menstrues est noir et connu, il dégage une mauvaise odeur.

 

L’autre sang qui sort et qui n’est pas noir, la femme doit le considérer comme un sang de l’hémorragie.

 

La preuve est le hadith du Prophète (صلى الله عليه و سلم) lorsqu’il dit à fatima bintu abî hubaych :

 

« si c’est le sang des menstrues, c’est alors un sang noir et connu. Abstiens-toi alors de prier. Si c’est un autre sang, fait tes ablutions car ce n’est qu’une veine ».

 

Le Prophète dans ce hadith à donné à fatima bintu abî houbaych un repère et lui a dit que le sang des menstrues est noir et connu.

 

Tout autre sang est le sang d’une veine.

 

Troisième situation : le cas d’une femme qui avant d’avoir atteint l’âge de la puberté avait déjà le sang de l’hémorragie

 

Elle n’a jamais connus sa période de menstrues ni le type de sang.

 

Les savants disent que cette femme qui a eu le sang de l’hémorragie avant la puberté puis une fois l’âge de la puberté atteint elle ne sait plus différencier les deux sangs, car elle ne connaît pas la période de menstrues.

 

Elle doit se comparer aux femmes de son âge et de sa famille et de considérer leur période de menstrues générale comme la sienne.

 

La preuve est le hadith ou le Prophète (صلى الله عليه و سلم) a dit à Ihma binti jash :

 

« Ceci est une incitation (ou une impulsion) du diable.

Considère alors six jours de menstrues ou alors sept selon la science d’Allah puis fais ton grand lavage jusqu’à ce que tu vois que tu es pure dans ton lavage et que tu accentue dans ton lavage.

Pris alors 24 jours ou bien 23 jours et leur nuits et jeune.

Cela te suffira et fais de même chaque mois, comme les femmes ont leur menstrues. »

 

Dans ce hadith, les savants en ont déduit qu’une femme qui n’a ni la possibilité de connaître la période de ses menstrues, ni la possibilité de différencier le sang des menstrues du sang de l’hémorragie.

 

De regarder la période de menstrues des femmes de son âge et de sa famille de préférence et de prendre cette même période.

 

Car le prophète (صلى الله عليه و سلم) a dit à Ihma binti jash de considérer six jours ou sept comme période de menstrues puis le prophète (صلى الله عليه و سلم) lui a dit de se laver et ensuite de prier et de jeûner (jeune surérogatoire ou jeûne du ramadhan) pendant 24 ou 23 jours et de faire cela chaque mois comme le font les femmes.

 

C'est-à-dire que les femmes à l’époque du prophète (صلى الله عليه و سلم) la période de menstrues était de 6 ou 7 jours.

 

Les jugements relatifs à la femme qui a le sang de l’hémorragie :

 

Il n’est pas interdit à la femme qui a le sang de l’hémorragie ce qui est interdit à la femme qui a ses menstrues.

 

Autrement dit, une femme qui a le sang de l’hémorragie à le droit de prier, de jeûner, d’avoir des rapports avec son mari …

 

Sauf que cette femme qui a le sang de l’hémorragie doit faire ses ablutions avant chaque prière.

 

La preuve est le hadith du prophète (صلى الله عليه و سلم) lorsqu’il a dit à fatima bintu houbaych :

 

« puis fais tes ablutions avant chaque prière ».

 

Ces ablutions sont obligatoires.

 

Il est également légiféré de faire el ghousl (le grand lavage) avant chaque prière comme cela a été vue précédemment.

 

Commentaire sur le livre intitulé "الوجيز في فقه السنة والكتاب العزيز" du Cheikh Abdl Adhdim El Badawi

Publié par el-ilm.net

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Le jilbab de la femme - جلباب المرأة المسلمة (audio-vidéo)

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

Le jilbab de la femme - جلباب المرأة المسلمة (audio-vidéo)

Cheikh :

 

Na3am.

 

Questionneuse :

 

Assalaamou 'aleykoum wa rahmatoullah

 

Cheikh :

 

'aleykoum salaam wa rahmatoullah wa baarakatouh.

 

Questionneuse :

 

Comment allez-vous ?

 

Cheikh :

 

Al hamdoulillah.

 

Questionneuse :

 

Al hamdoulillah, puis-je poser une question ?

 

Cheikh :

 

Vas y.

 

Question :

 

Est-ce une condition pour le jilbab de la femme qu'il faille qu'il traîne d'un empan ou de la longueur d'une coudée (avant bras) ?

 

Cheikh :

 

Cette condition est si les vêtements d'une femme était comme les vêtement des femmes dans le passé, parce que les femmes avant avaient l'habitude de porter seulement un qamis (longue robe) c'est à dire comme " دِشداشَة - thawb". 

 

Dans le sens qu'elles ne portaient pas de sirwal, ni chaussettes, ni rien qui puisse couvrir ses tibias ni ses pieds, sauf ce long kamis qui avait l'habitude de traîner sur le sol, ce qui est généralement connu comme l'abaya.

 

Aujourd'hui, si une femme porte des chaussettes ou peut-être un long sirwal, même si ce n'est pas commun, alors il est suffisant pour le jilbab de couvrir le dessus de ses pieds. 

 

Il n'est pas nécessaire pour l'ourlet du vêtement de traîner le long de la chaussée sauf dans la situation où la femme ne peut pas trouver, dans ses vêtements, des choses semblables à un sirwal ou des chaussettes et ainsi de suite.

 

Parce que, en vérité, le Messager 'aleyhi salaam lui a ordonné d'allonger son vêtement craignant que quelque chose de sa 'awrah de ses pieds ou de ses tibias soit découvert.

 

Donc, si ils sont couverts avec des vêtements ou des chaussettes et au dessus d'eux se trouve le long jilbab alors il n'est pas nécessaire, dans cette situation, pour l'ourlet du vêtement de traîner le long de la chaussée.

 

Questionneuse :

 

Puisse Allah vous récompenser.

 

Cheikh :

 

Qu'Allah vous préserve.

 

Questionneuse :

 

Donc ce qu'il est compris de votre parole est qu'il n'y a pas de problème si les chaussures se découvrent ou qu'une partie des chaussettes sont montrées?

 

Cheikh :

 

Non, je vous ai dit que le jilbab doit couvrir le dessus des pieds.

 

Ensuite, tu as également mentionné les chaussures, la condition pour les chaussures, c'est qu'elles ne doivent pas être décorés, parce que les chaussures des femmes de nos jours, pour la plupart sont décorées.

 

Questionneuse :

 

In shaa'a Allah mais les miennes ne sont pas décorées.

 

Cheikh :

 

Je ne parle de ton cas en particulier, je parle de manière en générale, pour l'ensemble des femmes.

 

Questionneuse :

 

Puisse Allah vous récompenser.

 

Cheikh :

 

Qu'Allah te préserve.

 

Publié par minhaj sunna

Cheikh Mouhammad Nacer-dine Al-Albany - الشيخ محمد ناصر الدين الألباني

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L'huile de cannabis pour les cheveux

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

L'huile de cannabis pour les cheveux

La question :

 

Noble Cheikh, qu'Allah vous accorde le succès ; une femme demande d'utiliser de l'huile de cannabis pour ses cheveux, est-ce permis ?

 

Réponse :

 

Ce qui est produit à partir du cannabis est interdit.

 

Le cannabis est interdit et ce qui en est produit est interdit.

 

Quant aux huiles, il existe de nombreux types d'huiles, et toutes les louanges appartiennent à Allâh.

 

Utilisez donc de l'huile, autre que l'huile de cannabis.

 

Traduit et publié par medecineprophetique.com

ما حكم استعمال زيت الحشيش للشعر؟

 يقول فضيلة الشيخ وفقكم الله امرأةٌ تسأل عن استعمال زيت الحشيش لاجل الشعر هل هو مباح؟

ما نتج عن الحشيش فهو حرام الحشيش حرام وما نتج عنه فهو حرام والزيوت ولله الحمد كثيرة. فاستعمل غير زيت 

Cheikh Salih Bin Fawzan Bin 'Abdillah Al Fawzan - الشيخ صالح بن فوزان الفوزان

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Leçons bénéfiques pour la femme musulmane

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

Leçons bénéfiques pour la femme musulmane

La femme dotée de religiosité se conforme aux ordres d’Allâh,

préserve les droits de son époux, sa chambre à coucher, ses enfants et ses biens.

 

Elle est pour lui une aide dans l’obéissance à Allâh -Le Très-Haut-

s’il oublie, elle lui rappelle, s’il fait preuve de paresse, elle le motive et s’il s’énerve, elle le contente.

 

La femme perspicace cherche à s’attirer l’affection de son époux et le respecte,

elle ne remet pas à plus tard une chose que celui-ci aime dans l’immédiat, elle ne fait rien non plus dans l’immédiat que ce dernier aime voir remis à plus tard.

 

الـزواج (صـ٢٠)

Publié par la chaîne Telegram قناة كونـي سلفيّة على الجادة - @kounisalafiya

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Cheikh Mohammad Ibn Salih Al-’Outheymine - الشيخ محمد بن صالح العثيمين

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Les impératifs indispensables à la femme musulmane - ضرورات لابد للمرأة المسلمة منها (dossier)

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

Les impératifs indispensables à la femme musulmane - ضرورات لابد للمرأة المسلمة منها (dossier)

Toutes les louanges reviennent à Allah, nous Le louons et Lui demandons son aide.

Nous Lui demandons pardon, nous nous repentons à Lui et nous cherchons refuge auprès de Lui contre les maux de nos personnes et le mal de nos actes.

Celui qu’Allah guide, nul ne peut l’égarer, et celui qu’Allah égare alors tu ne trouveras pour lui aucun allié pour le guider vers la bonne voie.

Je témoigne qu’il n’y a pas de divinité qui mérite d’être adorée en dehors d’Allah, Seul sans aucun associé, et je témoigne que Mouhammad est Son serviteur et messager, que les nombreuses prières et salutations d’Allah soient sur lui, sa famille et ses compagnons.

Ceci dit ;

La plus véridique des paroles est la parole d’Allah تعالى, et la meilleure guidée est la guidée de Mouhammad صلى الله عليه وسلم.

Les pires affaires sont celles qui sont inventées, toute invention est une innovation, et toute innovation est un égarement, et tout égarement est dans le Feu.

Ceci dit ;

 

« Des impératifs indispensables à la femme musulmane » : de courtes paroles destinées à toute soeur qui désire l’agrément d’Allah تعالى et la demeure de l’au-delà.

 

Ces impératifs sont tels que leur nom l’indique : aucune musulmane ne peut s’en dispenser.

 

Plutôt, si la femme musulmane délaisse ces impératifs, il en résultera l’affaiblissement de sa foi, la diminution de sa religion, la baisse de son statut auprès de son Seigneur جل وعلا.

 

En revanche, le fait de s’adonner à ces impératifs recèle son salut et son honneur ici-bas et dans l’au-delà.

 

L’apprentissage de ces impératifs revient à ce que la femme musulmane comprenne ce qu’Allah عز وجل veut et ce que Son Messager صلى الله عليه وسلم veut par ce qui est demandé à la femme.

 

En agissant ainsi, la femme musulmane gagne le bonheur ici-bas et dans l’au-delà.

 

Ces impératifs viennent à la femme musulmane et s’adressent à elle selon sa place auprès d’Allah عز وجل, et selon l’attention qu’Allah lui donne.

 

Quel honneur et quelle bonté plus grands que la droiture de la femme sur ce qu’Allah تبارك وتعالى aime et agrée d’elle ?

 

Quel honneur et bonté plus grands que sa droiture sur ce que lui a tracé son Prophète صلى الله عليه وسلم comme voie ?

 

Quel bien plus grand pour la femme que d’adopter ce qui préserve sa croyance, purifie son âme, protège son honneur et repousse d’elle le mal, en échappant à la ruse de ses ennemis qui complotent contre elle ?


À partir du moment où ton besoin vis-à-vis de ces impératifs t’apparaît clairement, j’en arrive maintenant au bref exposé de ces impératifs.

 

Je dis, en demandant l’aide à Allah et la réussite :

 

Le premier de ces impératifs : l’authenticité de la croyance de la femme musulmane est le secret de son salut auprès de son Créateur عز وجل.

 

Que connais-tu de cette croyance ?

 

Quels sont ses fondements ?

 

Quels sont les effets de cette croyance ?

 

Quelles sont les sources de cette croyance ?

 

Comment comprendre cette croyance d’une manière saine, en concordance avec ce qu’a voulu Allah عز وجل et ce qu’a voulu Son Prophète صلى الله عليه وسلم ?

 

Voilà des questions avec lesquelles il est nécessaire que la femme marque une pause, qu’elle s’interroge et qu’elle observe sa part.

 

Savais-tu que l’étude de la croyance islamique est un chemin pour connaitre Allah سبحانه وتعالى, avec Ses beaux noms, Ses hauts attributs et Ses sages actions ?

 

T’est-il parvenu que quiconque connait Allah عز وجل avec Ses noms, Ses attributs et Ses actes, Allah جل وعلا l’aimera nécessairement ?

 

Oui, quiconque connait Allah عز وجل réellement, d’une connaissance reposant sur la base du Livre et de la sounnah, une telle personne pratiquera l’unicité d’Allah عز وجل dépourvue de toute pollution qui relève de l’association, de l’innovation ou de la désobéissance.

 

Il se soumettra à Allah تبارك وتعالى complètement.

 

L’éminent compagnon Soufyân ibn ‘Abd Allah ath-Thaqafî رضي الله عنه a dit :

 

« J’ai dit : « Ô Messager d’Allah ! Dis-moi en islam une parole que je ne demanderai à personne après toi. »

Il répondit عليه الصلاة والسلام , et il est le bon conseiller : « Dis : j’ai cru en Allah, puis mets-toi sur la droiture. »

Rapporté par Mouslim, numéro 38.

 

Chez An-Nassâ’î, dans le hadith de Bahz ibn Hakîm d’après son père, d’après son grand-père رضي الله عنه qui a dit :

 

« J’ai dit : « Ô Prophète d’Allah ! Je ne suis venu à toi qu’après avoir juré plus de fois que j’ai de doigts de ne pas venir à toi et de ne pas entrer dans ta religion.

Or, j’étais un homme qui ne comprenait rien en dehors de ce que m’ont appris Allah et Son Messager. Je te demande par le visage d’Allah : avec quoi ton Seigneur t’a-t-Il envoyé à nous ? »

C’est-à-dire : avec quelle chose Allah تبارك وتعالى t’a-t-Il envoyé à nous les humains ?

Le Prophète عليه الصلاة والسلام répondit : « Avec l’islam. »

Je dis : « Quels sont les signes de l’islam ? »

Il répondit عليه الصلاة والسلام : « Que tu dises : j’ai soumis mon visage à Allah et je me suis retiré »

il s’agit du culte exclusif à Allah, et « je me suis retiré » de quoi ? De l’association et de ce qui lui est lié,

« et que tu établisses la prière et t’acquittes de la zakat. »

Rapporté par An-Nassâ’î, numéro 2436.

 

Cela clarifie pour nous le sens de l’islam qu’Allah عز وجل veut, et que cette croyance est construite sur la soumission à Allah تبارك وتعالى , sur le fait de se plier à Ses ordres عز وجل ainsi que sur le désaveu de l’association et de ses adeptes.

 

Ma noble soeur : l’apprentissage de la croyance authentique revient à accomplir la plus grande des obligations de la religion.

 

En effet, parmi les implications de la croyance islamique avec laquelle le Prophète صلى الله عليه وسلم a été envoyé : que la femme ait peur pour sa propre personne, peur de quoi ?

 

Elle a peur pour sa propre personne de commettre l’association, elle a peur pour sa propre personne de tomber dans les innovations, et enfin elle a peur pour sa propre personne de commettre les désobéissances et les péchés qui affectent l’unicité.

 

Cela est le cas des prophètes عليهم الصلاة والسلام , et cela est la parole des messagers, que les prières et saluts d’Allah soient sur eux.

 

Voilà Ibrâhîm عليه الصلاة والسلام , sachant qu’il est qui il est dans la réalisation de l’unicité et l’appel à cette croyance, dans son éclaircissement aux gens ainsi que dans son sacrifice pour cet appel.

 

Malgré tout cela, il dit (selon une traduction rapprochée du sens) :

 

{Préserve-moi ainsi que mes enfants de l’adoration des idôles} [Ibrâhîm : 35].

 

Et notre Prophète عليه الصلاة والسلام dit :

 

« Ce que je redoute le plus pour vous est l’association mineure. »

Ils dirent : « Qu’est-ce que l’association mineure ? »

Il répondit عليه الصلاة والسلام : « L’ostentation. Allah عز وجل leur dira le Jour de la Résurrection, quand les gens seront rétribués selon leurs oeuvres : allez vers ceux pour qui vous oeuvriez dans le bas-monde, et voyez si vous trouvez une récompense auprès d’eux. »

Rapporté par Ahmad dans « Al-Mousnad », hadith numéro 23031.

 

Cette immense croyance appelle cette langue à prononcer la foi, elle appelle ces membres à pratiquer les oeuvres d’obéissance au Tout-Miséricordieux سبحانه وتعالى, elle appelle ce coeur à s’apaiser par la cause de ce qui lui est parvenu comme vérité et affaires invisibles, elle l’appelle aussi à ne jamais hésiter dans la foi en cela.

 

Comme est heureuse la femme musulmane, et comme sont bons ses comportements lorsqu’elle apprend la croyance islamique et comprend le sens de la foi en les anges, le sens de la foi en les Livres, le sens de la foi en les messagers, le sens de la foi en le Jour Dernier, le sens de la foi en le décret d’Allah تبارك وتعالى et Son destin, et lorsqu’elle étudie les fruits de cette immense croyance, qu’elle s’arrête pour contempler les traces louables de cette croyance dans sa vie !

 

Par Allah, je vous recommande d’accorder de l’importance à cette immense croyance avec laquelle est venu le Prophète صلى الله عليه وسلم de la part d’Allah عز وجل , et pour laquelle le Prophète صلى الله عليه وسلم s’est sacrifié, il a enduré pour elle, il a été éprouvé pour elle, la guerre lui a été faite pour elle, on lui a fait du tort pour elle, il a été chassé pour elle, il a été sorti de son pays pour elle, il a été insulté pour elle, il a été boycotté صلى الله عليه وسلم pour elle...

 

Ils ne lui reprochaient que sa parole صلى الله عليه وسلم :

 

« Dites : il n’y a pas de divinité qui mérite d’être adorée en dehors d’Allah, vous récolterez le succès ».

 

Voilà ce qu’ils lui ont reproché صلى الله عليه وسلم, mais cela ne l’a nullement fait fléchir صلى الله عليه وسلم de la fermeté sur cette croyance et de l’appel à cette parole, et cela ne l’a pas davantage empêché صلى الله عليه وسلم de terminer sa vie en mettant en garde contre ce qui contredit cette croyance.

 

Parmi les impératifs indispensables à la musulmane : qu’elle ait la certitude dénuée de tout doute, que figure parmi les causes de son salut, de sa droiture sur la vérité et de la bonne tenue de son cheminement : le fait qu’elle suive son Prophète صلى الله عليه وسلم et qu’elle le prenne en exemple صلوات ربي وسلامه عليه.

 

Qu’elle emprunte sa guidée, qu’elle applique ses orientations en toute chose : dans les réjouissances et les malheurs, en voyage et en résidence, en état de satisfaction, dans ce qu’on aime et ce qu’on déteste, dans la science et l’adoration, dans les comportements et l’attitude, et autres.

 

Jâbir ibn ‘Abd Allah رضي الله عنه dit :

 

« Nous étions assis auprès du Prophète صلى الله عليه وسلم , alors il traça un trait – c’est-à-dire un trait droit –, puis il traça deux traits à sa droite – c’est-à-dire : à droite de ce trait – et il traça deux traits à sa gauche.

Puis, il posa صلى الله عليه وسلم sa main sur le trait du milieu, et il dit : « Ceci est le sentier d’Allah. »

Puis il récita ce verset (selon une traduction rapprochée du sens) :

{« Et voilà Mon chemin dans toute sa rectitude, suivez-le donc ; et ne suivez pas les sentiers qui vous écartent de Sa voie. »} [Al-An’âm : 153]

Rapporté par Ibn Mâjah, numéro 11.

 

Avec ceci, il nous apparait clairement au travers de cet immense hadith que la sounnah du Messager d’Allah صلى الله عليه وسلم est le chemin droit d’Allah qu’il nous est obligatoire de suivre, et que quiconque l’emprunte et s’y accroche entrera au Paradis, et que quiconque dévie de ce chemin et s’en écarte est désobéissant au Messager d’Allah صلى الله عليه وسلم et il se trouve sous la menace d’entrer dans le Feu, c’est auprès d’Allah qu’on cherche refuge.

 

Al-Boukhârî rapporte du hadith d’Aboû Hourayra رضي الله تعالى عنه qu’il a dit :

 

« Le Messager d’Allah صلى الله عليه وسلم a dit : « Toute ma communauté entrera au Paradis, sauf celui qui refuse »

c’est-à-dire : sauf celui qui refuse l’entrée au Paradis, et c’est là que vient la question : qui refuse ?

Il répondit صلى الله عليه وسلم : « Celui qui m’obéit entrera au Paradis, et celui qui me désobéit aura refusé. » »

Rapporté par Al-Boukhârî, numéro 7680.

 

C’est pourquoi le droit de notre Prophète صلى الله عليه وسلم et le fait d’emprunter sa sounnah est une chose obligatoire face à laquelle il n’y a aucune échappatoire.

 

Parmi les choses importantes dans la vie de la femme musulmane, le fait de bien agir dans son attitude à l’égard de la sounnah du Prophète صلى الله عليه وسلم.

 

Comment se comporte-t-elle face à la sounnah ?

 

Comment vit-elle avec ?

 

Comment en fait-elle une obligation pratique dans sa vie ?

 

La réponse : il fait partie de la bonne attitude envers la sounnah du Prophète عليه الصلاة والسلام que la femme vérifie ce qui est attribué au Prophète صلى الله عليه وسلم comme hadiths lorsque lui parvient un hadith de lui صلى الله عليه وسلم, particulièrement ce qui est relayé dans les divers réseaux sociaux qui ne vous échappent pas.

 

Combien y a-t-il dans ces réseaux de hadiths mensongers sur notre Prophète عليه الصلاة والسلام, et combien s’y trouve-t-il de hadiths faibles, et combien s’y trouve-t-il de hadiths qui n’ont aucune origine chez notre Prophète عليه الصلاة والسلام.

 

Ici il est une obligation de s’assurer [que le hadith vienne bien] de lui صلى الله عليه وسلم afin que tu ne tombes pas dans le mensonge à son encontre صلى الله عليه وسلم.

 

Il incombe à la femme musulmane d’apprendre sa guidée صلى الله عليه وسلم dans les oeuvres et les adorations : comment priait-il صلى الله عليه وسلم ?

 

Comment jeûnait-il عليه الصلاة والسلام ?

 

Comment donnait-il la zakat ?

 

Comment faisait-il le pèlerinage ?

 

Comment évoquait-il Allah تبارك وتعالى ?

 

Comment invoquait-il Allah عز وجل ?

 

Comment traitait-il les fautes ?

 

Comment se comportait-il avec les gens ? Etc…

 

Si tu apprends cela, tu seras – avec la volonté d’Allah – avec la sounnah du Prophète صلى الله عليه وسلم , tu vivras sa sounnah dans la réalité et à travers la pratique dans ta maison, dans ton emploi, dans ton marché, dans ta mosquée, dans ta voiture et dans toutes tes situations.

 

Cet immense suivi du Prophète عليه الصلاة والسلام , s’il est présent dans la vie de la personne, engendrera un fruit grandiose pour chaque musulman et musulmane, à savoir l’amour d’Allah تبارك وتعالى.

 

Allah جل وعلا a dit (selon une traduction rapprochée du sens) :

 

{Dis : « Si vous aimez vraiment Allah, suivez-moi, Allah vous aimera alors et vous pardonnera vos péchés.} [Âl ‘Imrân : 31].

 

Il incombe à la femme musulmane de se soumettre à la sounnah du Prophète صلى الله عليه وسلم, d’oeuvrer conformément à elle – après qu’elle se soit assurée de son authenticité et après l’avoir apprise – sans discussion ni opposition.

 

Plutôt, elle se soumet à la sounnah lorsqu’elle lui parvient, d’une soumission complète accompagnée de la satisfaction à l’égard de sa guidée عليه الصلاة والسلام , en se dispensant – à l’aide de cette sounnah et de cette guidée prophétique – de tout autre sentier et chemin.

 

Allah تعالى a dit (selon une traduction rapprochée du sens) :

 

{Non !... Par ton Seigneur ! Ils ne seront pas croyants aussi longtemps qu’ils ne t’auront demandé de juger de leurs disputes et qu’ils n’auront éprouvé nulle angoisse pour ce que tu auras décidé, et qu’ils se soumettent complètement [à ta sentence].} [An-Nissâ’ : 65].

 

Tel est le musulman.

 

‘Oumar ibn ‘Abd Al-‘Azîz رحمه الله a dit :

 

« Il n’appartient à personne d’avoir un avis à côté d’une sounnah qu’a instaurée le Messager d’Allah صلى الله عليه وسلم . »

 

La femme musulmane qui veut le bien pour sa propre personne, qui aime son Prophète صلى الله عليه وسلم , est jalouse pour la guidée du Messager d’Allah عليه الصلاة والسلام , elle n’agrée pas qu’on s’en prend à sa sounnah, ni qu’on tourne en dérision sa guidée, quoi que soit cette guidée prophétique dont on se moque : que ce soit un siwak, un voile, un niqâb, une prière, un raccourcissement du vêtement [pour les hommes] ou autres.

 

La femme musulmane rejette ces attaques à la guidée du Messager d’Allah صلى الله عليه وسلم et elle se dresse contre elles.

 

L’amour de la femme musulmane pour la guidée de son Prophète صلى الله عليه وسلم l’appelle à une affaire grandiose ainsi qu’à se méfier d’un grand désastre qui contredit son suivi عليه الصلاة والسلام.

 

Il l’appelle en effet à prendre garde aux innovations et à s’éloigner des entorses à la législation qui dérogent à la guidée du Messager d’Allah صلى الله عليه وسلم.

 

En effet, le Prophète صلى الله عليه وسلم nous a directement mis en garde contre toute chose qui déroge à sa guidée عليه الصلاة والسلام, il a dit :

 

« Prenez garde aux affaires inventées. »

 

Notre Seigneur سبحانه وتعالى nous a clairement montré notre religion, et Il nous a appris qu’elle est parfaite, dépourvue de tout manque de quelque manière que ce soit.

 

Il a dit تعالى (selon une traduction rapprochée du sens) :

 

{Aujourd’hui, J’ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait ! Et J’agrée l’Islam comme religion pour vous.} [Al-Mâ’ida : 3].

 

Parmi les impératifs indispensables à la musulmane si elle veut le bonheur dans cette vie d’ici-bas : s’adonner au Livre d’Allah عز وجل.

 

C’est la recommandation de notre Prophète صلى الله عليه وسلم, lorsqu’il recommanda à Aboû Dharr :

« Attache-toi à la récitation du Coran », pourquoi ?

Il dit : « c’est une évocation pour toi dans le ciel et une lumière pour toi sur terre ».

Rapporté par Ibn Hibbân, numéro 362.


Qu’est-ce que signifie réciter le Coran ?

 

Est-ce qu’il s’agit de la lecture seulement ?

 

Est-ce une simple récitation et la répétition des mots de ce noble Livre ?

 

La réponse : non, plutôt le sens de la récitation du Livre d’Allah est : appliquer le Livre d’Allah, observer ce qu’il déclare licite et illicite, se plier à ses ordres et s’abstenir de ses interdits, observer le silence pour écouter ce noble Livre, lire ce Coran d’une bonne manière dépourvue d’erreur, en méditant cette immense parole, en comprenant ses sens, en cherchant le remède par sa cause quand surviennent les maladies et les fléaux.

 

C’est cela le sens de la récitation du Coran (selon une traduction rapprochée du sens) :

 

{Ceux à qui Nous avons donné le Livre, qui le récitent comme il se doit} [Al-Baqara : 121].


Si tu médites le Coran – ô toi la femme prompte à pratiquer sa religion – il t’apparaitra clairement quel genre de personne es-tu, il t’apparaitra clairement ta personnalité telle qu’elle est vraiment.

 

Cette méditation te fera savoir si tu fais partie des personnalités coraniques qu’Allah جل وعلا aime, ou bien des personnalités éloignées des enseignements du Coran qu’Allah جل وعلا déteste, c’est auprès d’Allah qu’on cherche refuge.

 

Al-Hassan al-Basrî رحمه الله a dit :

 

« Celui qui veut savoir qui il est vraiment, qu’il expose sa personne au Coran. »

 

Tu veux savoir à quelle catégorie tu appartiens ?

 

Tu veux connaitre ta personnalité ?

 

Expose ta personne au Coran : quelle est l’envergure de proximité et de ton éloignement vis-à-vis du Coran ?

 

À ce moment tu sauras qui tu es.

 

Par la cause de cette méditation, tu imiteras le Prophète عليه الصلاة والسلام.

 

Ne t’est-il pas parvenu que le comportement du Prophète صلى الله عليه وسلم était le Coran ?

 

Avec cette méditation, la femme échappe à l’abandon du Coran, et entre dans le nombre de celles qui adressent le bon conseil envers le Livre d’Allah تبارك تعالى.

 

Parmi les bases de la réussite et parmi les fondements du plein succès pour tout musulman et musulmane : s’adonner à s’instruire dans la religion et accorder de l’importance à apprendre les règles du Seigneur des univers.

 

Cela est une nécessité légiférée, et c’est sur cette base que sont construites nombre de nécessités religieuses et mondaines.

 

Comment la femme musulmane qui désire le bien pour sa propre personne peut-elle se détourner de l’instruction dans sa religion ?!

 

Alors que l’instruction dans la religion fait partie des paroles du Seigneur des univers سبحانه وتعالى et de Ses grands bienfaits sur la personne.

 

Allah جل وعلا a dit, montrant Sa grâce sur Son Prophète صلى الله عليه وسلم (selon une traduction rapprochée du sens) :

 

{Et Il t’a enseigné ce que tu ne savais pas. Et la grâce d’Allah sur toi est immense.} [An-Nissâ’ : 113].

 

Le fait de se saisir de l’instruction dans la religion et de s’activer à apprendre les règles d’Allah عز وجل revient à se saisir d’une part de l’héritage des prophètes عليهم الصلاة والسلام.

 

La science légiférée issue du Livre d’Allah عز وجل et de la sounnah du Prophète صلى الله عليه وسلم est la vie des coeurs et une guérison pour les poitrines.

 

Avec l’instruction dans la religion, la femme musulmane distingue entre l’égarement et la droiture, entre ce qui est correct et ce qui est erroné, entre le vrai et le faux, entre l’égarement et la guidée.

 

Si la femme s’instruit dans sa religion et connait les lois d’Allah سبحانه وتعالى , que Ses règles جل وعلا lui apparaissent clairement, qu’elle distingue entre le licite et l’illicite, entre ce qu’Allah تبارك وتعالى aime et agrée et ce qu’Il déteste جل وعلا et désapprouve… si la femme s’instruit dans sa religion, il lui apparaitra clairement la vérité qui lui incombe de suivre ainsi que le faux qui lui incombe d’éviter.

 

Voilà quelques mérites et conséquences de l’instruction dans la religion.

 

Je dis à ton intention : la guidée est entre tes mains, pourquoi cette noble âme – comme je l’espère et c’est Allah Qui est le Juge de toute soeur musulmane – ne s’active-t-elle pas pour [acquérir] cet immense bien, pourquoi ce coeur ne s’anime-t-il pas pour s’adonner à l’apprentissage ?!

 

Pourquoi cette âme ne cherche-t-elle pas à obtenir une large part de ces règles légiférées qui la protégeraient de l’ignorance ?!

 

Si tu veux le bien pour ta propre personne, sois comme les femmes de la première génération et les vertueuses des siècles [passés] parmi les femmes des compagnons du Prophète صلى الله عليه وسلم.

 

Prends connaissance de ce hadith grandiose et cette position lumineuse des femmes des compagnons, les pieuses ancêtres.

 

Aboû Sa’îd al-Khoudrî رضي الله تعالى عنه dit :

 

« Une femme est venu au Messager d’Allah صلى الله عليه وسلم et lui dit : « Ô Messager d’Allah, ton discours est parti avec les hommes », c’est-à-dire : tes assises la plupart du temps sont avec les hommes, et nous n’avons aucune part de ce discours afin qu’on comprenne de toi cette religion et qu’on apprenne de toi les règles.

Elle dit : « Ton discours est parti avec les hommes », qu’est-ce qu’elle demande ?

Elle dit : « Donne-nous un jour de ta part », c’est-à-dire : détermine pour nous un jour, dans quel but ?

Elle dit : « Nous viendrons à toi [ce jour] pour que tu nous apprennes de ce qu’Allah t’a appris. »

Médite cette grande motivation, ce désir fort et appuyé dans l’apprentissage des règles légiférées.

Le Prophète عليه الصلاة والسلام, le doux et clément qui s’attèle toujours à faire bénéficier les serviteurs avec tout ce qu’il possède عليه الصلاة والسلام , il répondit : « Réunissez-vous tel jour à tel endroit. »

Le narrateur du hadith dit : « Elles se réunissaient, le Messager d’Allah صلى الله عليه وسلم leur venait et leur apprenait de ce qu’Allah lui a appris. »

Rapporté par Al-Boukhârî, numéro 7310.

 

C’est ainsi qu’il convient que soit la femme musulmane, prompte et sérieusement active dans tout ce qui la rapproche d’Allah تبارك وتعالى et qui augmente sa science et sa compréhension dans sa religion.

 

Parmi les impératifs dans le sujet de l’apprentissage et de l’instruction dans la religion pour la femme musulmane : qu’elle sache de qui elle reçoit cette science et de qui elle le prend, car la science est une religion alors regardez de qui vous prenez votre religion.

 

Il relève de la nécessité pour la femme musulmane, pour que son apprentissage soit discipliné, qu’elle sache faire la différence entre les savants et les pseudo-savants.

 

Elle doit distinguer entre l’étudiant en science légiférée qui est sérieux et discipliné, et l’autodidacte qui prétend la science et qui s’y affilie alors qu’il ne fait pas partie de ses gens.

 

Il s’agit d’un point scientifique et méthodologique qu’il faut absolument saisir et comprendre.

 

Son exposé est long, mais je me suffirais à quelques allusions.

 

Je dis : parmi les choses importantes dans ce sujet que la femme musulmane doit connaitre, les caractéristiques du savant éducateur.

 

Les caractéristiques de ce savant qu’Allah جل وعلا a éclaircies dans Son Livre, et que Son Prophète صلى الله عليه وسلم a détaillées dans sa sounnah.

 

Le véritable savant, ainsi que l’étudiant en science véridique, c’est celui qui prend pour source – dans ses fatwas et son enseignement – le Livre et la sounnah, ainsi que ce sur quoi ont cheminé les prédécesseurs de cette communauté parmi les compagnons رضي الله تعالى عنهم.

 

Il est celui qui établit la concorde entre les gens, rassemble leur parole et ne les divise pas.

 

Il est celui qui appelle les gens au calme lors des troubles et des séditions, non pas aux révolutions, ni au soutien des manifestations, ni à l’appel aux marches.

 

Il est celui qui est discipliné dans ses fatwas en toute circonstance et toute situation.

 

Il ne se contredit jamais, plutôt il prononce le jugement d’Allah جل وعلا et le jugement de Son Messager صلى الله عليه وسلم.

 

Le véritable savant, celui qui appelle à Allah avec véracité, c’est celui qui dispense sa science pour faire bénéficier les gens, pour enlever d’eux l’ignorance, pour qu’ils aient la clairvoyance dans ce qu’Allah تبارك وتعالى aime et agrée.

 

Il est celui qui s’élève par rapport à la vie d’ici-bas, il déteste les éloges de ses gens.

 

Il est celui qui n’aspire pas aux présidences ni à la célébrité.

 

Il est celui qui ne prend aucun salaire pour ses cours, il ne prend aucun bien ni billet pour ses conférences.

 

Il est celui dont le souci est d’éclaircir les règles légiférées pour toutes les catégories de la société, sans regard envers le statut de celui qui profite [de son éclaircissement] : est-ce qu’il fait partie des rangs élevés, est-ce qu’il fait partie de ceux qu’on remarque, ou plutôt de ceux auxquels on ne fait pas attention.

 

Ce savant sincère dans [sa volonté] de faire bénéficier les gens ne regarde pas le nombre de ceux qui assistent [à ses cours], car c’est un réformateur [qui souhaite] sincèrement réformer les situations des gens vers ce qui est mieux et meilleur.

 

Celui qui est sincère dans la réforme de la société est motivé par les récompenses et la recherche de la réussite auprès d’Allah عز وجل , et ce ne sera jamais la quantité du public – peu ou prou – qui le motivera, il ne regarde pas cela ni autre chose.


Ce sont là quelques caractéristiques du savant éducateur, du prédicateur sincère qui appelle à Allah عز وجل.

 

Ces caractéristiques, si la femme les saisit et les distingue clairement, il lui apparaitra clairement que ceux qui sont appelés « les penseurs islamiques » ne font pas partie des savants ; que ceux dont le souci est de s’occuper par le récit d’histoires et de contes aux gens ne font pas partie des savants ; que ceux qui montent sur les minbars et dont les voix s’élèvent ne font pas forcément partie des savants ; que ceux qu’on classe parmi les couches cultivées de la population, ou parmi les savants, ne font pas partie des savants, et ainsi de suite…

 

Il incombe à la femme musulmane de prêter attention à cela et de faire la différence entre ceux-ci et ceux-là.

 

En distinguant entre les savants et les imposteurs, la femme comprend d’où elle doit prendre sa religion, qui doit-elle questionner quand un problème se pose à elle dans la législation de son Seigneur سبحانه وتعالى .

 

Les impératifs sont nombreux, et je voulais en exposer davantage, notamment en rapport avec les coeurs, les actes des coeurs, les impératifs qui sont liés au cheminement sur la voie des compagnons رضي الله تعالى عنهم وأرضاهم, et autres parmi les impératifs desquels il convient que la femme prenne son départ, ainsi que les fondements sur lesquels elle doit construire sa vie, sur lesquelles elle doit cheminer et qu’elle doit prendre pour appui dans son voyage vers son Seigneur تبارك وتعالى.

 

Cependant, j’espère que ce qui a été cité ici renferme une allusion à ce qui ne l’a pas été parmi les impératifs légiférés indispensables à la femme musulmane, impératifs qu’elle doit s’atteler à apprendre et à interroger à leur sujet pour s’y instruire.

 

Et Allah est plus Savant.

 

Que les prières, saluts, bénédictions et bienfaits d’Allah soient sur notre Prophète Mouhammad, sa famille et tous ses compagnons.

 

Par l’honorable shaykh Yoûssouf ibn Hassan al-Hammâdî حفظه الله

Responsable du département de l’exhortation aux Affaires islamiques de Sharjah (EAU)

Première édition, publiée le 23 dhoû al-hijja 1441H correspondant au jeudi 13 août 2020G

Publié par la chaîne Telegram قناة كونـي سلفيّة على الجادة - @kounisalafiya

Cheikh Yousouf ibn Hassan Al-Hamâdy - الشيخ يوسف بن حسن الحمادي

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La femme est-elle fautive si un homme l’a vue sans son voile à travers la fenêtre ? (audio)

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

La femme est-elle fautive si un homme l’a vue sans son voile à travers la fenêtre ? (audio)

Question :

 

Que la paix et la miséricorde d’Allâh soient sur vous Cheikhana.

Qu’Allâh vous bénisse :

 

Lorsqu’un homme aperçoit la femme non-voilée ou avec le visage découvert, mais cela a eu lieu involontairement.

 

Par exemple elle ouvre la fenêtre et au même moment il l’aperçoit.

 

La femme est-elle en tort ? 

 

Sachant qu’elle n’a pas fait cela volontairement.

 

Qu’Allâh vous récompense en bien.

 

Réponse :

 

Il incombe à la femme s’il y a face à son balcon ou sa porte un autre balcon ou une autre porte, qu’elle fasse attention à cela.

 

Et qu’elle se méfie de cela.

 

Elle utilise un rideau ou ce qui y ressemble.

 

Si elle souhaite ouvrir cette fenêtre il doit nécessairement y avoir un rideau qui la dissimule de jour comme de nuit.

 

Certains rideaux, lorsqu’il y a de la luminosité ou que la lumière est allumée, on voit à travers.

 

Il lui incombe de faire cela : lorsqu’elle souhaite ouvrir la fenêtre qu’elle mette un rideau qui la dissimule de sorte à ne pas être dans le champ de vision d’une autre fenêtre.

 

Et cela malheureusement fait partie des fléaux présents dans les pays musulmans ; la présence de fenêtres qui se font face.

 

Et si quelque chose venait à arriver (qu’un homme la voit) involontairement, le Prophète صلى الله عليه وسلم a été questionné Ali l’a questionné quant au premier regard à l’improviste, il lui a répondu :

 

« Détourne ton regard. »

 

Traduit par Na'ima Umm Talhah

Publié par minhaj-an-nubuwwah.com

Cheikh 'Ali ben Abdelaziz Moussa - الشيخ علي بن عبدالعزيز موسى

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La femme pieuse est le bien de ce bas-monde

Publié le par 3ilm.char3i

La femme pieuse est le bien de ce bas-monde

Il m'est venu à l'esprit...

Que la cause de la stabilité personnelle et familiale est - après la volonté d'Allâh - la femme pieuse car certes l'homme peut perdre son argent, ne pas faire fructifier sa science ou ne pas perfectionner son travail à cause de l’angoisse qu'il vit (au quotidien) à son domicile avec sa famille.

 

C'est pour cela que la femme pieuse est le bien de ce bas-monde.

 

Elle est celle qui réjouit son mari lorsqu'il la regarde,

Elle est celle qui l'apaise lorsqu'il vient à elle,

Elle ne lui fait pas entendre de mauvaises paroles,

Elle ne le mentionne pas en mal,

Elle le préserve de par sa propre dignité,

Elle préserve sa maison et ses enfants.

 

Ne vois tu pas le hadith de Abu Hourayrah recueillit par les deux Cheikh (Al-Bukhari et Muslim) dans leur ouvrage :

 

"Les femmes de Quraysh sont les meilleures des femmes qui sont monté à chameau, elles sont les plus affectueuses envers les enfants et celles s'occupent le mieux des biens de leur mari."

 

Il صلى الله عليه وسلم a mentionné le mérite des femmes de Quraysh par rapport à l'ensemble des femmes des arabes du fait qu'elles sont les plus douces envers leurs enfants et qu'elles s'occupent le mieux des biens de leurs époux.

 

La femme ne connaît pas le haut rang qu'elle a auprès d'Allâh de par sa bienfaisance envers son mari.

 

Elle ne connaît pas également la place qu'elle a dans le cœur de son mari lorsqu'elle fait preuve de bonté.

 

Alors fais de ta maison un lieu de tranquillité pour ton époux, aide-le à faire disparaître ses soucis et sa tristesse, et ne sois pas la cause de sa tristesse et son anxiété !

 

Rempli ta maison de douceur et d'affection afin que ton mari la remplisse pour toi d'amour, de respect et de tendresse.

 

Qu'Allâh vous bénisse et mette la bénédiction sur vous et qu'Il vous rassemble dans le bien.

 

Sur la page Facebook de Cheikh - @mohammadbazmool

 Publié par la Chaîne منهاج السالكات - MinhaajAsSaalikaat

ذكرني به احد الاخوة في الواتساب جزاه الله خيرا

خطر في بالي

أن الاستقرار النفسي والأسري سببه بعد مشيئة الله الزوجة الصالحة، فإن الرجل قد يضيع ماله و لا يستثمر علمه ولا يحسن عمله بسبب القلق الذي يعيشه في بيته مع أسرته
ولذلك كانت الزوجة الصالحة حسنة الدنيا
وهي التي تسر زوجها إذا نظر إليها
وتريحه إذا أتى إليها
لا تسمعه الهجر من القول
و لا تذكره بالسوء
تحفظه في نفسها وبيتها وولدها
ألا ترى إلى حديث أبي هريرة عند الشيخين

"نِسَاءُ قُرَيْشٍ خَيْرُ نِسَاءٍ رَكِبْنَ الإِبِلَ أَحْنَاهُ عَلَى طِفْلٍ وَأَرْعَاهُ عَلَى زَوْجٍ فِي ذَاتِ يَدِهِ"

، فذكر فضيلة نساء قريش على سائر نساء العرب، من جهة أنهن أحناه على طفل وأرعاه على زوج في ذات يده

المرأة لا تعرف مقدار المكانة العظيمة التي تكون لها عند الله تعالى بإحسانها إلى زوجها
و لا تعلم مقدار المحل الذي تكون فيه من قلب زوجها لما تفعل ذلك
فاجعلي بيتك سكنا لزوجك ، ساعديه في اذهاب الهم والحزن، و لا تكوني أنت سبب حزنه وقلقه
إملأي بيتك رفقا وودا ليملأه زوجك لك حبا واحتراما وحنانا
بارك الله لكما وعليكما وجمع بينكما في خير

 محمد بن عمر بازمول

Cheikh Mohammad Ibn 'Omar Ibn Sâlim Bâzmoul - الشيخ محمد بن عمر بن سالم بازمول

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