536 articles avec mariage - divorce - الزواج و الطلاق

Conseil à ceux qui ne veillent pas au bien-être de leurs épouses lors des rapports intimes

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

Conseil à ceux qui ne veillent pas au bien-être de leurs épouses lors des rapports intimes

Sa parole: "le retrait avant de la libérer", c’est-à-dire qu’il est détestable -aussi- que l’homme se retire avant qu’elle soit libérée, le hadith :

 

"si son besoin a été assouvi alors il ne se précipite pas jusqu’à ce que son besoin à elle soit assouvi"

 

Et "le retrait" signifie : Que la personne termine son coït, alors il retire son sexe du vagin de son épouse avant de la libérer du désir (de jouir), c’est-à-dire : avant qu’elle éjacule et la libération du désir se produit par l'éjaculation, alors l’auteur dit, cela est détestable, et ceci est à revoir (ndt : dans le statut du jugement) et ce qui est authentique est qu’il est interdit (harâm) qu’il se retire avant qu’elle éjacule, et c’est ainsi car il lui fait manquer la perfection du plaisir, et il l’a privé (par ce retrait) de la perfection de la jouissance.

 

Et peut-être il lui causera du mal du fait que le liquide soit prêt pour l’éjaculation puis il ne sort pas si le rapport sexuel se termine.

 

Quant au hadith qu'ils ont mentionné, alors il est également faible, mais en termes de point de vue il est correct, tout comme tu n’aimes pas qu’elle se retire avant que tu jouisses alors de même pour elle, il incombe à ce que tu ne la précipites pas.

 

Al Sharh al Mumti3 (12/417)

Traduit par Abdoullaah Abu Edem 

Publié par 3ilmchar3i.net

قوله: " والنزع قبل فراغها " أي : يكره - أيضاً - أن ينزع قبل فراغها ؛ لحديث

(إذا قضى حاجته فلا يعجلها حتى تقضي حاجتها)

، والنزع معناه : أن ينهي الإنسان جماعه ، فيُخرج ذكرَه من فرج امرأته قبل فراغها من الشهوة ، أي : قبل إنزالها ، والفراغ من الشهوة يكون بالإنزال ، فالمؤلف يقول : يُكره ، وهذا فيه نظر ، والصحيح أنه يحرم أن ينزع قبل أن تنزل هي ؛ وذلك لأنه يفوِّت عليها كمال اللذة ، ويحرمها من كمال الاستمتاع ، وربما يحصل عليها ضررٌ من كون الماء متهيأً للخروج ثم لا يخرج إذا انقضى الجماع
وأما الحديث الذي ذكروه فهو - أيضاً – ضعيف ، ولكنه من حيث النظر صحيح ، فكما أنك أنت لا تحب أن تنزع قبل أن تنزل : فكذلك هي ينبغي أن لا تعجلها

 الشرح الممتع على زاد المستقنع - 12 / 417

Cheikh Mohammad Ibn Salih Al-’Outheymine - الشيخ محمد بن صالح العثيمين

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Lors d'une dispute avec son mari, la femme est-elle en droit de sortir de chez elle ?

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

Lors d'une dispute avec son mari, la femme est-elle en droit de sortir de chez elle ?

Lorsque la femme se dispute avec son mari, est-il préférable qu'elle sorte de chez elle pour se rendre chez sa famille ou bien qu'elle reste dans sa maison ? 

 

Ce qui apparaît dans cette question est que ce qui lui est légiféré, ce qui lui est préférable, plutôt même ce qui lui incombe est de ne pas sortir de chez elle à moins qu'elle ne craigne que la situation s'empire et que le mal s'intensifie. 

 

Ne vois tu pas qu'Allâh تعالى a dit : 

 

"Ne les faites pas sortir de leurs maisons, et qu'elles n'en sortent pas, à moins qu'elles n'aient commis une turpitude prouvée. Telles sont les lois d'Allâh. Quiconque cependant transgresse les lois d'Allâh, se fait du tort à lui-même. Tu ne sais pas si d'ici là Allâh ne suscitera pas quelque chose de nouveau !" (sourate at talaq, v.1)

 

Si tel est le cas concernant la femme divorcée, alors il convient à plus forte raison d'agir ainsi lorsque la dispute n'atteint pas ce degré de gravité. 

 

Ecrit et publié sur la page facebook officielle du Cheikh le 18/01/2018 correspondant au 1 joumada al awal 1439. 

Traduit et publié par salafislam.fr

لفتات ...

المرأة إذا تخاصمت مع زوجها هل الأفضل أن تخرج من بيتها إلى بيت أهلها، أو تبقى في بيتها؟
الذي يظهر أن المشروع لها وهو الأفضل بل الواجب عليها، أن لا تخرج من بيتها إلا إذا خشت زيادة الشر والفساد؛

ألا ترى أن الله تعالى يقول

وَاتَّقُوا اللَّهَ رَبَّكُمْ لَا تُخْرِجُوهُنَّ مِنْ بُيُوتِهِنَّ وَلَا يَخْرُجْنَ إِلَّا أَنْ يَأْتِينَ بِفَاحِشَةٍ مُبَيِّنَةٍ وَتِلْكَ حُدُودُ اللَّهِ وَمَنْ يَتَعَدَّ حُدُودَ اللَّهِ فَقَدْ ظَلَمَ نَفْسَهُ لَا تَدْرِي لَعَلَّ اللَّهَ يُحْدِثُ بَعْدَ ذَلِكَ أَمْرًا - الطلاق: 1

فإذا كان هذا في المطلقة فمن باب أولى في الخصومة التي لم تصل إلى هذا الحد

Cheikh Mohammad Ibn 'Omar Ibn Sâlim Bâzmoul - الشيخ محمد بن عمر بن سالم بازمول

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Pourquoi les gens de la droiture aiment la polygamie ?

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Pourquoi les gens de la droiture aiment la polygamie ?

On dit que :

 

"Plus l'homme est pieux plus son désir charnel augmente, car celui qui ne craint pas Allâh satisfait ses désirs par le regard et le toucher.

 

Ne vois-tu pas ce qui a était rapporté dans la parole (traduction rapprochée) : 

 

"les deux yeux forniquent,... et les deux mains forniquent" 

 

S'il y a dans le regard et le toucher une forme d'assouvissement du désir, alors les rapports sexuels diminuent.

 

Tandis que la personne pieuse, elle, baisse les yeux et s'abstient de toucher, donc son désir est rassemblé en lui (car il ne l'a pas assouvi ici et là par le regard et le toucher), ce qui fait que ses rapports sexuels sont plus nombreux."

 

Et Abou Bakr Al-Warâk a dit : 

 

"Tout désir endurcit le coeur sauf le rapport sexuel qui le purifie.

Et c'est pour cette raison que les prophètes le pratiquaient."

 

Tafsir al-Qurtubi 253/5

Traduit par Muhammad Abou Maher

Publié par 3ilmchar3i.net

 لماذا أهل الاستقامة يحبون تعدد الزوجات

يقال

إن كل من كان أتقى فشهوته أشد؛ لأن الذي لا يكون تقيا فإنما يتفرج بالنظر واللمس، ألا ترى ما روي في الخبر

"العينان تزنيان... واليدان تزنيان"

، فإذا كان في النظر واللمس نوع من قضاء الشهوة قل الجماع، والمتقي لا ينظر ولا يلمس فتكون الشهوة مجتمعة في نفسه فيكون أكثر جماعاً

وقال أبو بكر الوراق

كل شهوة تقسي القلب إلا الجماع فإنه يصفي القلب، ولهذا كان الأنبياء يفعلون ذلك

 تفسير القرطبي - ٢٥٣/٥

Imam Mohammad Ibn Ahmad Al Ansâriy Al-Qurtubiy - الإمام محمد بن أحمد الأنصاري القرطبي

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L'épouse est prioritaire sur les parents et les proches dans la dépense (audio)

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

L'épouse est prioritaire sur les parents et les proches dans la dépense (audio)

La dépense pour l'épouse est obligatoire en toute situation, même en cas d'incapacité.

 

C'est pour cela que nous disons : elle a le droit de la dépense, si ce n'est qu'en cas d'incapacité, il (le mari) ne commet pas de péché (s'il ne dépense pas pour elle) alors qu'en cas de capacité, il commet un péché.

 

Et sa capacité à dépenser, c'est le fait qu'il détienne de l'argent duquel il puisse dépenser pour lui et pour son épouse, et elle devance (en cela) ses proches, jusqu'à la mère, le père et les enfants aussi.

 

Et ceci car la dépense pour l'épouse est en réalité une dépense pour soi, à savoir la jouissance puisque si elle ne trouve pas de dépense (de la part de son mari pour elle), elle exigera la dissolution du mariage alors qu'il a besoin d'elle.

 

Elle est donc prioritaire sur la mère et le père.

 

Et ceci a été solidement rapporté du Prophète صلى الله عليه وسلم dans ce qu'a rapporté Muslim ainsi que Ahmad concernant le fait de donner la priorité à sa famille sur ses proches puisqu'il عليه الصلاة والسلام a dit :

 

"Dépense pour ta famille, puis tes proches parents, puis ici et là."

 

C'est-à-dire fais-en aumône.

 

Donc la capacité à dépenser est une condition de la dépense pour les proches, et le sens de la capacité est qu'il a un excédent sur ce qui lui a suffi (pour subvenir à ses besoins) à lui et sa famille - c'est-à-dire son ou ses épouse(s) - puis après cela, vient la dépense pour les proches.

 

شرح زاد المسقنع - ج 6 ص 15

Traduit par Oum Suhayl

Publié par 3ilmchar3i.net

النفقة للزوجة واجبة بكل حال حتى عند العجز ، ولهذا قلنا : لها النفقة ، إلا أنه عند العجز لا يأثم ، وعند القدرة فإنه يأثم

وقدرته على الإنفاق أن يكون عنده مال يستطيع أن ينفق به على نفسه وعلى زوجته ، وهي مقدّمة على أقاربه حتى على الأم والأب والأولاد أيضا ، وذلك لأن الإنفاق على الزوجة في الحقيقة هو إنفاق على النفس وهو الاستمتاع إذ أنها إذا لم تجد نفقة تطالب بالفسخ ، وهو محتاج إليها . فهي مقدّمة على الأم والأب ، وقد ثبت ذلك عن النبي صلى الله عليه وسلم فيما رواه مسلم وأحمد من تقديم الأهل على قرابته حيث قال عليه الصلاة والسلام

 أنفقه على أهلك ثم على قرابتك ثم ههنا وههنا

يعني تصدّق به

فالحاصل أن القدرة على الإنفاق شرط في النفقة على الأقارب ، ومعنى القدرة أن يكون لديه فاضل عن كفايته وكفاية أهله  أي زوجته أوزوجاته ـ ثم بعد ذلك تأتي نفقة الأقارب

 

Cheikh Mouhammad Ibn Salih Al-’Outheymine - الشيخ محمد بن صالح العثيمين

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Il n’a pas été constaté de meilleure chose que le mariage

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

Il n’a pas été constaté de meilleure chose que le mariage

Selon Ibn Abbas رضي الله عنه, le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit :

 

«Il n’a pas été constaté de meilleure chose que le mariage pour deux personnes qui s’aiment.»

 

Rapporté par Ibn Majah n°1847, par Al-Bayhaqi dans Sounnan Al-Koubra n°2347 et par Tabarani dans Mou’jam Al-Kabir n°11009.

Authentifié par Shaykh Al-Albani dans Sahih Al-Jâmi’ n°5200 ainsi que dans Silsila Sahiha n°624

Publié par minhajsalafi.com

حَدَّثَنَا مُحَمَّدُ بْنُ يَحْيَى، حَدَّثَنَا سَعِيدُ بْنُ سُلَيْمَانَ، حَدَّثَنَا مُحَمَّدُ بْنُ مُسْلِمٍ، حَدَّثَنَا إِبْرَاهِيمُ بْنُ مَيْسَرَةَ، عَنْ طَاوُسٍ، عَنِ ابْنِ عَبَّاسٍ، قَالَ قَالَ رَسُولُ اللَّهِ ـ صلى الله عليه وسلم  ‏

  لَمْ نَرَ لِلْمُتَحَابَّيْنِ مِثْلَ النِّكَاحِ ‏

1847 سنن ابن ماجه
2347 (السنن الكبرى (البيهقي
11009 (المعجم الكبير (الطبراني
(حكم : صحيح (الألباني
5200 (صحيح الجامع (الألباني
624 (سلسلة الأحاديث الصحيحة (الألباني

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L’injustice du polygame dans les actes et paroles (audio-vidéo)

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

L’injustice du polygame dans les actes et paroles (audio-vidéo)

Celui qui a deux épouses et penche vers la seconde que ce soit par des actes ou des paroles !

 

Alors que si c’est le penchant du cœur, le cœur n’est pas possédé (ndt: puisque c’est Allâh qui les détient).

 

Mais plutôt dans les paroles et les actes.

 

Il est marié avec deux, et nous avons mentionné la seconde mais ce n’est pas subordonné au fait qu’elle soit la toute nouvelle : il peut s’agir de la première tout comme de la nouvelle épouse.

 

Il penche vers elle par les paroles : quand il parle des enfants qu’il a eu avec celle qui lui est la plus chère, il dit : «mes enfants».

 

Alors que quand il parle des enfants qu’il a eu avec cette pauvre femme, il dit : «tes enfants».

 

C’est une injustice, une injustice envers l’épouse et envers les enfants.

 

Ils sont tous ses enfants !

 

C’est une injustice, ce n’est pas permis !

 

Ou il penche vers elle par des actes.

 

S’il achète des fruits du marché et rentrant chez lui, avant de monter, il vérifie les sacs : les meilleurs seront pour la préférée et il octroiera ceux qui ont des défauts à la seconde.

 

Ou alors ce qui reviendra à la préférée, il les amènera de ses propres mains en les portant à la maison.

 

Alors que pour la pauvre seconde, il sonnera et dira : «dis à ton enfant de venir chercher vos provisions».

 

C’est de l’injustice.

 

Celui qui a donc épousé deux femmes et penche vers l’une d’elles en paroles ou en actes viendra au jour de la résurrection avec la moitié du corps et la mâchoire penchés, pas comme il a été créé.

 

Allâh le dévoilera au jour de la résurrection, le Refuge est en Allâh.

 

Traduit et publié par cerclesciences.fr

Cheikh Souleyman Ben Salîm Allâh Ar-Ruheylî - الشيخ سليمان بن سليم الله الرحيلي

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Est-il obligatoire à la femme de servir son mari ? (audio-vidéo)

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

Est-il obligatoire à la femme de servir son mari ? (audio-vidéo)

Question :

 

Est-il authentique de dire qu'il ne fait pas partie des obligations de la femme de faire la cuisine, la lessive, ... dans la maison de son mari ?

 

Et que ce qu'elle fait lorsqu'elle sert son mari est juste une faveur de sa part envers celui-ci ?

 

Et est-ce qu'elle commet un péché dans le cas où elle n'obéit pas à son mari et refuse d'accomplir les tâches du foyer ?

 

Réponse :

 

La louange toute entière appartient à Allâh.

 

Quant à ce qui fut mentionné dans la question, certains spécialistes du fiqh l'ont dit mais c'est marjouh (1) et ceci pour deux choses :

 

1- La première chose est qu'Allâh dit :

 

وَعَاشِرُوهُنَّ بِالْمَعْرُوفِ

 

(traduction rapprochée) 

 

"Et comportez-vous avec elles conformément à la bienséance" (Sourate Les femmes verset 19)

 

et Il dit :

 

وَلَهُنَّ مِثلُ الَّذِي عَلَيهِنَّ بِالمَعرُوفِ

 

(traduction rapprochée)

 

"Quant à elles, elles ont des droits équivalents à leurs obligations, conformément à la bienséance" (Sourate La vache verset 228)

 

Et le sens visé par la bienséance est ce qui est coutume chez les musulmans et qui ne s'oppose pas à la législation d'Allâh.

 

Il est donc obligatoire à l'épouse de se comporter avec son époux conformément à ce qui est coutume et qui ne s'oppose pas à la législation d 'Allâh.

 

Et la tradition musulmane ancienne et contemporaine est que la femme soit au service de son mari et qu'elle soit totalement dévouée à son mari dans son foyer.

 

Et comment la cohabitation pourrait-elle être convenable et se dérouler conformément à la bienséance si la femme ne se charge pas de servir son époux ?

 

Et la parole d'Allâh :

 

وَعَاشِرُوهُنَّ بِالْمَعْرُوفِ

 

(traduction rapprochée) 

 

"Et comportez-vous avec elles conformément à la bienséance" (Sourate Les femmes verset 19)

 

et :

 

وَلَهُنَّ مِثلُ الَّذِي عَلَيهِنَّ بِالمَعرُوفِ

 

(traduction rapprochée)

 

"Quant à elles, elles ont des droits équivalents à leurs obligations, conformément à la bienséance" (Sourate La vache verset 228)

 

est une preuve qu'il est obligatoire à la femme de faire pour son mari ce qui est coutume d'être fait sans exagération ni laxisme.

 

Et nous avons évoqué que la tradition musulmane depuis l'époque du Prophète (éloge et salut d'Allâh sur lui) jusqu'à nos jours est que la femme soit au service de son mari.

 

2- La deuxième est que le Prophète (éloge et salut d'Allâh sur lui) a ordonné à la femme d'obéir à son mari et a insisté sur cela.

 

Il dit en effet :

 

"Si j'avais ordonné à une personne de se prosterner pour une autre, j'aurais ordonné à la femme de se prosterner pour son mari" 

 

en raison de l'importance du droit qu'il a sur elle.

 

Et si l'homme ordonne à sa femme une chose et qu'il se met en colère sur elle parce qu'elle ne le fait pas, les anges du Tout-Miséricordieux se mettent également en colère sur celle-ci.

 

L'homme ordonne à sa femme de le servir, il est donc obligatoire pour elle de le servir, ceci au regard du jugement religieux et c'est la parole de la majorité (joumhour) et c'est aussi ce qui est correct.

 

Il y a une seule exception à cela, si il s'agit des femmes dont il est coutume qu'elles ne servent pas, alors c'est une exception car (servir) pour elle sort de ce qui est coutume.

 

Donc, si elle appartient à une maison dont il est coutume dans ce pays que les habitants de cette maison ou les femmes de cette maison ne servent pas, en raison de leur noblesse ou autre, alors elles sont exclues de ceci.

 

Ensuite, je dis que celui qui s'adresse aux gens doit être instruit et doté de compréhension.

 

En effet, tout ce qui est su ne doit pas forcément être dit.

 

Plutôt, il convient à celui qui s'adresse aux gens de faire des recherches sur ce qui va améliorer leur vie et propagera le bonheur dans les familles, car le bonheur dans les familles est quelque chose de requis.

 

Comment le mari pourrait-il connaître le bonheur alors que sa femme écoute celui qui s'exprime dans la science ou se montre comme faisant partie des gens de science et dit "il n'est pas obligatoire pour toi de servir ton mari", l'homme vient pour manger, elle dit alors "Cheikh untel - par Allâh - dit qu'il ne m'est pas obligatoire de te servir" ?

 

Où sont l'amour et l'affection exigés religieusement entre les époux ?

 

Où est la cohabitation dans la bienséance ?

 

Ceci s'oppose aux objectifs établis par la législation religieuse.

 

C'est pour cela mes frères, il fait partie de la compréhension de la religion de ne pas diffuser tout ce que l'on sait, mais il ne faut propager que ce qui concrétise les objectifs établis par Le Législateur (Allâh).

 

Certains parmi les gens - et c'est auprès d'Allâh qu'on cherche le secours - en raison de leur peu de science et de maîtrise, se mettent à lire dans les livres et lorsqu'ils trouvent une chose étrange, ils la font apparaître et l'exposent aux gens.

 

Et il disent : "C'est les savants qui ont dit cela" ; Oui, certains savants l'ont dit mais ça n'engendre aucun bien entre les gens.

 

C'est pour cela qu'il y a une question scientifique que je rappelle sans cesse aux frères, qui est que lorsque l'individu désire dire quelque chose, il faut qu'il vérifie trois choses :

 

1- Que la parole soit une vérité.

 

Il est indispensable qu'elle soit confirmée et en accord avec la législation religieuse.

 

En effet, ce que disent certains savants n'est pas toujours forcément en accord avec la preuve.

 

2- Que ce qui est voulu soit une vérité.

 

Que ce que tu veuilles avec ta parole soit le Visage d'Allâh سبحانه وتعالى.

 

Que ton but ne soit pas de gagner les femmes, de gagner les gens, de venir avec des chose étranges que les gens ne connaissent pas.

 

Plutôt, que ton intention n'ait pour seul but que le Visage d'Allâh سبحانه وتعالى.

 

3- Que la parole soit une vérité dans ce qu'elle va provoquer, en ce qu'elle ne produise que vérité, ne véhicule que du bien et n'indique que du bien.

 

Si le préjudice qui découle de cette parole est plus grand que son bénéfice, alors il n'est pas permis de l'exprimer ni de la diffuser. Il faut absolument que cette chose soit bien claire.

 

Donc, je dis : Ô époux et épouses, que votre charte soit la cohabitation dans la bienséance, le bonheur du foyer et la quiétude.

 

Car - par Allâh - le cœur ne peut trouver sa stabilité tant que le foyer n'est pas stable, et le foyer ne peut être stable qu'à partir du moment où la famille se réunit sur le Livre d'Allâh et la sounnah de Son Messager (éloge et salut d'Allâh sur lui), ainsi que sur l'amour et la cohabitation dans la bienséance.

 

Et j'ai deux épîtres éditées, la première s'appelle "Les causes du bonheur familial" et l'autre "Les droits des deux époux" que j'ai construites sur les preuves du Livre et la sounnah. J'espère qu'elles seront une source de bien pour les familles.

 

Et Allâh est plus Savant.

 

(1) C'est-à-dire que la preuve de cet avis est plus faible que celle de l'avis contraire (Ar-Râjih). [Al-Bahr al-Mouhît fi oussouli l Fiqh / 425,4]

 

Traduit par Abdoullah abou Khouzaymah

Publié par Al-Firqatou an-Najiyyatou

Cheikh Souleyman Ben Salîm Allâh Ar-Ruheylî  - الشيخ سليمان بن سليم الله الرحيلي

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Qu'un croyant ne déteste pas une croyante...

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

Qu'un croyant ne déteste pas une croyante...

Une femme pieuse peut avoir des caractéristiques qui déplaisent à son mari, de même qu'un homme pieux peut avoir des caractéristiques qui déplaisent à sa femme. 

 

Mais ce qui est voulu d'eux, c'est de détourner le regard vis-à-vis de ces caractéristiques et de voir les bon côtés.

 

D'après Aboû Hourayra (qu'Allah l'agrée), le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit :

 

«Qu'un croyant ne déteste pas une croyante, s'il déteste un de ses comportements il sera satisfait par un autre de ses comportements.»

(Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°1469)

 

Traduit par Damien/Issa

 Publié par Al Firqatou An-Nâjiyatou

أن المرأة الصالحة لا يلزم أنها لا تتصف ببعض الأمور التي لا ترضي زوجها، وينبغي أن يكون كذلك الرجل الصالح، فقد يكون فيه بعض الأمور التي لا ترضي الزوجة ... والمطلوب منهما التغاضي عن هذه الأمور ، ورؤية الأمور الحسنة

أخرج مسلم في صحيحه حديث رقم 1469

عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ ، قَالَ : قَالَ رَسُولُ اللهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ : لاَ يَفْرَكْ مُؤْمِنٌ مُؤْمِنَةً ، إِنْ كَرِهَ مِنْهَا خُلُقًا رَضِيَ مِنْهَا آخَرَ ، أَوْ قَالَ : غَيْرَهُ

Cheikh Mohammad Ibn 'Omar Ibn Sâlim Bâzmoul - الشيخ محمد بن عمر بن سالم بازمول

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La femme, dans sa demeure, apporte tranquillité et équilibre à son époux et au foyer

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

La femme, dans sa demeure, apporte tranquillité et équilibre à son époux et au foyer

Allâh تعالى a dit :

 

وَمِنْ آيَاتِهِ أَنْ خَلَقَ لَكُم مِّنْ أَنفُسِكُمْ أَزْوَاجًا لِّتَسْكُنُوا إِلَيْهَا وَجَعَلَ بَيْنَكُم مَّوَدَّةً وَرَحْمَةً إِنَّ فِي ذَلِكَ لآيَاتٍ لِّقَوْمٍ يَتَفَكَّرُون

 

(traduction relative du sens du verset) :

 

"Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l'affection et dela bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent." (sourate Ar-Rûm verset 21)

 

La formulation avec "sakan" (سكن) et ce qu'elle implique comme signification :

 

Le mot "sakan" (tranquillité) revêt un sens immense quant à l'équilibre, le repos et la quiétude dans le foyer.

 

Et si nous essayions de créer un mot (équivalent et) exprimant ce qu'il comporte comme sens, nous ne le pourrions pas et nous ne le pourrons jamais.

 

Ceci est la parole du Seigneur des mondes que le faux n'atteint ni pas devant, ni par derrière.

 

Le femme est donc tranquillité pour son époux, tranquillité pour son foyer.

 

Ensuite Il a décrit la relation comme étant affection et miséricorde.

 

Et Il a dit :

 

هُوَ الَّذِي خَلَقَكُم مِّن نَّفْسٍ وَاحِدَةٍ وَجَعَلَ مِنْهَا زَوْجَهَا لِيَسْكُنَ إِلَيْهَا

 

(traduction relative du sens du verset) :

 

"C'est Lui qui vous a créés d'un seul être dont il a tiré son épouse, pour qu'il trouve dela tranquillité auprès d'elle" (sourate Al-A'râf verset 189)

 

C'est-à-dire qu'il trouve compagnie et refuge auprès d'elle.

 

Et que l'on comprenne bien le secret derrière l'emploi de "ilayhâ" (إليها) - "auprès d'elle" dans les deux versets :

 

Cette préposition renvoie/rattache la tranquillité à la femme : elle est donc son lieu et son berceau.

 

L'époux se repose auprès d'elle ; le foyer et tous ses membres se reposent auprès d'elle.

 

Or, la femme ne sera (véritablement) tranquillité pour son époux que lorsqu'elle aura cerné le droit et le rang de ce dernier, puis qu'elle se sera acquittée des droits qu'il a sur elle, obéissante à son Seigneur, heureuse et satisfaite.

 

C'est pour cela que l'Islam s'emploie à affirmer le rang de l'époux : car c'est le fondement.

 

Tiré d'une conférence intitulée : دور المرأة في تربية الأسرة

Traduit par Oum Suhayl 

 Publié par 3ilmchar3i.net

 المرأة في البيت سكن واستقرار للزوج والبيت

قال تعالى

وَمِنْ آيَاتِهِ أَنْ خَلَقَ لَكُم مِّنْ أَنفُسِكُمْ أَزْوَاجًا لِّتَسْكُنُوا إِلَيْهَا وَجَعَلَ بَيْنَكُم مَّوَدَّةً وَرَحْمَةً إِنَّ فِي ذَلِكَ لآيَاتٍ لِّقَوْمٍ يَتَفَكَّرُونَ - الروم: 21

. التعبير بـ “سكن” وما يحمله من معنى. إن كلمة “سكن” تحمل معنى عظيمًا للاستقرار والراحة والطمأنينة في البيت، ولو حاولنا أن نوجد لفظًا يعبر عما تحمله ما استطعنا ولن نستطيع، ذلك كلام رب العالمين الذي لا يأتيه الباطل من بين يديه ولا من خلفه. فالمرأة سكن للزوج، سكن للبيت. ثم وصف العلاقة بأنها “مودة ورحمة”

وقال

هُوَ الَّذِي خَلَقَكُم مِّن نَّفْسٍ وَاحِدَةٍ وَجَعَلَ مِنْهَا زَوْجَهَا لِيَسْكُنَ إِلَيْهَا - الأعراف: 189

أي يأنس بها ويأوي إليها، ولنفهم سر التعبير “إليها” في الآيتين حيث أعاد السكن إلى المرأة فهي مكانه وموطنه، فالزوج يسكن إليها، والبيت بمن فيه يسكن إليها (لتسكنوا إليها) ولا تكون المرأة سكنًا لزوجها حتى تفهم حقه ومكانته، ثم تقوم بحقوقه عليها طائعة لربها فرحة راضية

لذا يحرص الإسلام على تقرير مكانة الزوج لأنها الأساس

Cheikh Salih Bin Fawzan Bin 'Abdillah Al Fawzan - الشيخ صالح بن فوزان الفوزان

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Ta femme n'est pas possédée, mais c'est plutôt toi son djinn ! (audio)

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

Ta femme n'est pas possédée, mais c'est plutôt toi son djinn ! (audio)

Lors de ce voyage également (Ndt : Le Cheikh a évoqué précédemment son voyage en France, en 1419 H pour une série de conférences), un homme récemment converti parmi les frères est venu à moi en disant que sa femme était victime de toucher, qu'elle était possédée par un djinn.

 

Il s'est rendu chez quelqu'un... et bien entendu dans ce genre d'affaires, il faut toujours que se mettent en avant les prétentieux qui feignent la science...

 

Celui-ci lit, celui-là exorcise, d'aprés une innovation ou un égarement, de façon erronée ou correcte, Allâh sait mieux !

 

Donc il l'a rencontré et il lui a dit qu'elle avait je ne sais quoi.

 

Il m'a dit : "Cheikh, l'exorciserais-tu ?".

 

Je lui ai répondu que je n'exorcisais pas.

 

La sunnah est que tu te fasses roqyah à toi-même ; ceci est la sunnah.

 

Bien sûr, il ne parlait pas arabe.

 

Un des frères traduisait.

 

Je lui ai dit : "Procède comme ceci, comme cela..."

 

Bref, après ceci, je lui ai dit : "Viens !", il m'a rejoint dans un endroit tranquille.

 

Je l'ai alors interpellé : "Ô mon frère, que dis-tu là ? Qu'a donc ta femme ?"

 

Il m'a dit : "Elle a ceci, cela, et elle se sent angoissée, gênée, elle veut se jeter par la fenêtre, elle veut aller je ne sais où, etc"

 

Je lui ai dit : "Ô mon enfant, depuis combien de temps es-tu marié ?"

 

Il a dit : "Trois ans".

 

"Combien d'enfants as-tu ?"

 

Il a dit : "Deux et le troisième est en route", c'est-à-dire que sa femme est enceinte.

 

Je lui a dit : "Ô mon fils, il est connu que la femme, dans ce genre de situations, au moment de la grossesse, de l'accouchement, elle change car il s'agit de la gestation d'un embryon."

 

"La conception de chacun d'entre vous, dans le ventre de sa mère s'accomplit en quarante jours ;

D'abord sous la forme d'une semence, puis sous celle de plasma sanguin pour une même période, puis sous celle d'un morceau de chaire pour une même période."

Jusqu'à la fin du hadith, le hadith de 'AbduLlah Ibn Mas'ud dans les deux authentiques.

 

Cette gestation engendre chez elle des changements.

 

Son âme se resserre, elle fait des choses qui sont peut-être hors de contrôle, comme on dit.

 

Et après l'accouchement, il y aussi des états qu'elle peut subir.

 

Il est indispensable que tu saches cela.

 

Ceci est la voie du Messager d'Allâh عليه الصلاة والسلام avec ses épouses et mères des croyants.

 

De même que la raison convient de ceci !

 

Toi, en trois années, tu as eu trois enfants.

 

Moi, je n'empèche pas cela et je dis pas qu'il faille limiter la descendance, ceci n'est pas autorisé.

 

Mais toi, qu'attends-tu de sa part ?

 

Que veux-tu d'elle ?

 

Tu ne veux pas d'elle qu'elle soit fatiguée, ni qu'elle soit angoissée, etc.

 

Je lui dis : "Bien, mon frère, et toi comment la traites-tu ?

Y a-t-il là de bons comportements (de ta part envers elle) ?

Si elle veut une chose, l'emmènes-tu (l'acheter) ou bien la lui achètes-tu ?"

 

D'accord, même si tu dis que vous êtes dans un pays de mécréance, mais ce n'est pas partout ni tout le temps que les mécréants marchent, mais seulement parfois.

 

Bien sûr, nous savons très bien, bâraka lLâhu fikum, que si nous avons besoin de quelque chose, nous ne nous rendons pas au marché aux heures d'affluence ou de pointe, mais plutôt nous recherchons le moment où il n'y a personne ou peu de gens.

 

Il ne t'est pas obligatoire de marcher à tel moment bien déterminé.

 

Plutôt, change de moment de sorte de prendre tes enfants et pouvoir marcher.

 

Fais-tu ceci ?

 

Il m'a dit : "Non, je ne le fais pas."

 

Tu vois... il ne le fait pas.

 

Je lui ai dit : "Très bien, alors que fais-tu ?"

 

Il m'a dit : "Cheikh..."

 

Je lui ai dit : "Est-ce que cette femme était mécréante puis s'est convertie à l'islam ?"

 

Il m'a dit : "Oui".

 

Je lui ai dit : "Imagine, bâraka lLâhu fik -et lui aussi était mécréant puis s'est converti à l'islam- cette femme, avant qu'elle ne devienne musulmane, il n'y avait pas de haram (interdiction religieuse) chez eux.

Elle marchait dans tel pays le matin puis s'établissait dans tel autre pays le soir, ou bien elle va et vient je ne sais où...

Et chacun marche comme il veut et comme bon lui semble."

 

N'est-ce pas ainsi ?

 

Ceci est ce qu'on entend, je ne sais pas, nous n'avons pas vécu cela, wal hamdu li lLâh, mais d'après ce que nous entendons, chez ces gens-là, lorsque le jeune atteint je ne sais quel âge, il se passe telle chose, il se plaint à la police et c'est le père ou la mère qu'ils blâment.

 

Ils agissent ainsi et c'est pareil pour la fille.

 

Elle était dans un environnement de mécréance, il n'y avait pas chez elle de haram, il n'y avait pas là d'interdit, puis Allâh l'a guidée à l'islam, et toi aussi Allâh t'a guidé à l'islam.

 

"Ceci est interdit, cela est haram, ceci non, cela non..." Ce n'est pas possible !

 

Alors, il m'a dit, le pauvre...

 

Je lui ai dit : "Je te donne un conseil : Sois bienfaisant dans le traitement que tu accordes à ton épouse, corrige tes comportements.

Si elle veut quelque chose dont elle a nécessairement besoin, alors prends-la à tel moment et promène-toi avec elle à un moment éloigné des ambiguïtés et des problèmes.

Promène-toi, la promenade n'est pas interdite.

Change d'air !

C'est comme si tu étais dans une prison, tu tournes en rond."

 

Il est parti et a appliqué (mes recommandations).

 

Quelques jours après, juste avant que je ne parte, il m'a dit : "Jazâk, jazâk, jazâk !"

 

Il voulait dire : "Jazâka llâhu khayran".

 

Il ne voulait même pas faire appel à un traducteur.

 

Je lui dis : "Alors, comment se porte ta femme ?"

 

Il m'a dit : "Al hamdu li lLâh".

 

Ce par quoi elle était éprouvée s'en est allé.

 

Je lui ai dit : "Elle n'a pas de djinn en elle, mais c'est toi son djinn, c'est toi le djinn".

 

Bâraka lLâhu fik.

 

Tu as compris ?

 

Il m'a dit : "La première fois que les frères sont venus à moi, ils m'ont dit :

"Salafi... Haram, haram, haram !"."

 

Il faut bien qu'ils feignent la science auprès de quelqu'un.

 

Si quelqu'un veut apprendre à raser les cheveux, il va choisir un pauvre, un orphelin pour raser sa tête.

 

Chez nous, nous avons un proverbe qui dit qu'il apprend le rasage des cheveux sur les têtes des orphelins.

 

Parce que s'il le coupe, il n'aura pas de père pour chercher à comprendre.

 

Il pleure, il crie, puis c'en est fini, il repart avec cette apparence-ci.

 

Donc ces faibles d'esprit ont feint la science devant ce nouveau musulman.

 

"Ne fais pas, ne marche pas, ne mange pas, ne bois pas, ne dors pas si ce n'est debout..."

 

Qu'est-ce donc que cela ?

 

Ceci est une erreur !

 

Je lui dis : "Ô mon fils, il y a, dans la salafiyyah, ce qui est halal, haram, obligatoire, autorisé, détestable, préférable.

Tout n'est pas haram, haram, haram.

Qui a dit que ceci était la salafiyyah ?

Qu'est-ce que ceci ?"

 

نصيحة في تربية الأبناء وتأديبهم في الغرب - A partir de 7min 15sec environ

Traduit par Oum Suhayl 

 Publié par 3ilmchar3i.net

Cheikh Abdoullah ibn AbderRahim Al-Boukhâry - الشيخ عبدالله بن عبد الرحيم البخاري

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La colère de la femme contre son époux lors d’une dispute (audio-vidéo)

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

La colère de la femme contre son époux lors d’une dispute (audio-vidéo)

Question :

 

Il advient parfois certains différents et controverses corsés entre les époux.

 

La femme met alors son époux en colère et la plupart du temps, ces controverses portent sur des affaires mondaines.

 

Est-ce qu’alors la femme endosse le péché d’avoir mis son époux en colère ?

 

Soyez nous bénéfiques, qu’Allâh le soit avec vous.

 

Réponse :

 

Si sa colère contre lui est sans droit (raison valable), elle est pécheresse et il ne lui est pas permis de se quereller ni de lui nuire par la parole.

 

Mais si c’était avec droit (raisons valable) en lui ayant réprouvé une mauvaise action : il est négligent dans la prière alors elle le lui a reproché, il boit de l’alcool alors elle le lui a reproché et le conseilla et il se mit en colère, elle est alors récompensée et non pécheresse mais plutôt remerciée.

 

Ainsi, ce qui est voulu est : si sa colère contre lui était avec droit alors elle est récompensée et si ce fut sans droit, elle est alors pécheresse et il ne lui est pas permis de le mettre en colère sans raison valable.

 

Et elle se doit d’employer de bonnes paroles, écouter et obéir dans le convenable.

 

Mais si c’est lui qui commet des désobéissances, qu’elle le lui a réprouvé, l’a conseillé et l’a aiguillé vers le bien alors il lui incombe d’accepter d’elle, de la remercier et de ne pas se mettre en colère car elle est bienfaisante, récompensée et conseillante.

 

Sa récompense est alors que son amour (pour elle) augmente et qu’il lui en soit reconnaissant.

 

Traduit et publié par cerclesciences.fr

Cheikh 'Abdel-'Azîz Ibn 'Abdi-llâh Ibn Bâz - الشيخ عبدالعزيز بن عبدالله بن باز

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La polygamie est une affaire qui appartient à l'homme et non à la femme

Publié le par 3ilm.char3i - La science legiferee

La polygamie est une affaire qui appartient à l'homme et non à la femme

J'ai pu observer...

Qu'aucun hadith n'était rapporté dans le blâme de la femme qui se refuse à accepter la polygamie.

 

La raison de cela est que la polygamie est une affaire qui appartient à l'homme et non à la femme.

 

Même si la femme déteste la polygamie de par sa saine nature, elle ne possède toutefois aucune part (dans cette affaire).

 

C'est l'homme qui prend toute la responsabilité dans la polygamie [...]

 

S'il se marie une deuxième fois, fait preuve de justice, interagit convenablement et ne commet pas d'injustice, sa première femme ressentira qu'il est toujours celui qu'il était avant, elle sera satisfaite et restera avec lui, dans le cas contraire, elle sera mécontente, en colère et s'écartera [...] il se peut même qu'elle demande le divorce.

 

La femme fut créée d'une côte et ce qui est le plus courbé dans la côte est sa partie supérieure (1).

 

Ceci est sa nature même si son époux ne se marie pas une deuxième fois.

 

Et le prophète (éloge et salut d'Allâh sur lui) a dit :

 

«tu en jouis bien qu’elle soit courbe» (2)

 

Donc, s'il prend une deuxième femme, il est constamment requis de sa part qu'il soit encore plus patient envers la première.

 

C'est pour cela qu'un avertissement à l'homme est rapporté concernant la polygamie afin qu'il ne soit pas injuste :

 

«Celui qui possède deux femmes, et aura penché vers l’une plus que l’autre, il viendra le Jour de la résurrection avec une partie de son corps qui penche.» (3)

 

Comme ils disent :

 

«La monture dépend du cavalier» (4)

 

Craignez donc Allâh au sujet des femmes, soyez justes et soyez bons, qu'Allâh vous accorde le succès et soit satisfait de vous. 

 

(1) Tiré du hadith : D'après Abou Houreira (qu'Allâh l'agrée), le Prophète (que l'éloge d'Allâh et Son salut soient sur lui) a dit :

«Celui qui croit en Allâh et au jour dernier qu'il ne cause pas de gêne à son voisin et soyez bon avec les femmes.

En effet elles ont certes été créées d'une côte et ce qui est le plus tordu de la côte est sa partie supérieure.

Si on veut la redresser on la casse et si on la laisse elle reste tordue. Soyez bons avec les femmes».

( Al-Boukhâri n°5185)

(2) Tiré du hadith :

«La femme est comparable à une côte, si tu tentes de la redresser tu la casseras et lorsque tu jouis d’elle, tu en jouis bien qu’elle soit courbe».

(Boukhâri et Mouslim)

(3) Hadith rapporté par at-Tirmidhi n°3-4 /115, ibn Majah n° 3/16 et l’Imam Ahmad

(4) Et la femme dépend de l'homme avec qui elle vit ...

 

Tiré du compte facebook officiel du Cheikh

Traduit par Abdoullah Abou Khouzaymah

Publié par Al Firqatou An-Nâjiyatou

لفت نظري ... انه لم يرد حديث في زجر المرأة ان تمتنع عن القبول بالتعدد وذلك لان امر التعدد بيد الرجل ليس بيد المرأة

والمرأة وان كرهت التعدد بفطرتها الا انها لا تملك شيئا

والرجل هو المسؤول عن التعدد ... فإن تزوج على امرأته وعدل واحسن التعامل وما ظلم وشعرت انه معها كما كان رضيت واستمرت معه. والا زعلت وغضبت ونفرت ... وقد تطلب الطلاق

والمرأة خلقت من ضلع وان اعوج ما في الضلع اعلاه وهذا طبعها من غير ان يتزوج زوجها عليها ... والرسول صلى الله عليه وسلم يقول

استمتعوا بها على عوجها

فإذا تزوج عليها فانه مطالب بالصبر عليها اكثر واولى

ولذلك ورد التحذير للرجل في التعدد ان لا يظلم

وانه اذا مال الى احداهما جاء يوم القيامة واحد شقيه مائل

يقولون

الفرس بخيالها

فاتقوا الله في النساء واحسنوا واعدلوا وفقكم الله لطاعته ورضاه

Cheikh Mohammad Ibn 'Omar Ibn Sâlim Bâzmoul - الشيخ محمد بن عمر بن سالم بازمول

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